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2016年3月26日土曜日

二つの区分け:ファルス享楽 la jouissance phallique と他の享楽 l'autre jouissance

さて,ふたつめの問い,l'Autre jouissance について.改めて調べてみると,Lacan 自身は l'Autre jouissance という表現は使っていないようです.(2015.6.28)

ーーというツイートを抜き出して、「話す存在 l'être parlant / 話す身体 corps parlant」における記述、《ファルス享楽 la jouissance phallique の内部に外立する他の享楽 l'autre jouissance》について、なんたら言ってくる人がいるが、この人物のツイートは、ラカンのアンコールをまともに読んでいない証拠でしかない。

ま、誰もまともに読めていないという言い方はできるのでーーラカンのセミネールのテキストはとりわけ「非全体」であるーー、「ファルス享楽」 la jouissance phalliqueと「他の享楽」  l'autre jouissance の区分けは、多くの解説者たちによって、15年以上前から注目されているものとのみ言っておこう。

たぶん、なんらかの理由でブランクがあった人物なのだろう。すなわち前世紀の凡庸なラカン学者の解釈のままである。あるいは、他の解釈者の見解をさぐってみることをしない独我論者か自閉的心性の持主かのたぐいであろう。

この二つの区別は、わたくしのように、ラカンを断片的にしか読んでいない非専門家のディレッタントたちのあいだでも、すでに「常識」である。

…phallic enjoyment has to be understood as a defence against the enjoyment of the body as an organism.( Paul VerhaegheSUBJECT AND BODY. Lacan's Struggle with the Real.2001、原文

ーー《ファルス享楽とは、有機体としての身体の享楽に対する防衛として理解されなければならない。》

いくらかの核心的表現をラカン自身の表現(アンコール)から掲げるなら、

・une jouissance au-delà du phallus, hein !

・La jouissance du corps, s'il n'y a pas le rapport sexuel, il faudrait voir en quoi ça peut y servir.

・l'être c'est la jouissance du corps comme tel, c'est-à-dire comme (a)sexué…

・la raison de cet être de la signifiance c'est la jouissance en tant qu'elle est jouissance du corps.

・…il y a une jouissance… puisque nous nous en tenons à la jouissance, jouissance du corps 

これらの叙述に重ねて、Patrick Valas版のアンコールでは、彼のコメントが入っている、《jouissance du corps de l'Autre (l'autre jouissance)》と。

この「〈他者〉の身体の享楽」とは、セミネールⅩⅣの次ぎの表現とともに読むとよい、《L'Autre、c'est le corps ! (大他者とは身体のことである)》。


ファルス享楽を超えたところにある享楽が、他の享楽 l'autre jouissance である(〈他者〉の享楽 la jouissance de l'Autre とはいささか異なることは前回みた)。

そもそもこの人物は「身体の享楽」(身体の悦)を少し前まで掴んでおらず、誤解もやむえない(参照)。

…………

最も重要な鍵は次ぎの表現にある。

c'est Ia jouissance qu'il ne faudrait pas"(S.20)

あり得ない享楽、かつ遭遇せざるを得ない享楽とでも訳せるか?

これが「他の享楽」 l'autre jouissance である。

ブルース・フィンクの説明(2004)なら次の通り。

The fantasy is so powerful that we feel this Other jouissance has to be, has to exist. Yet if it were not for this fantasy, we might be more content with the jouissance we do actually obtain. Thus, whereas Lacan says that, according to the fantasy, this Other jouissance should be (that is, should exist), from the point of view of the satisfactions we actually do obtain, it should not be because it merely makes matters worse.

We might say that it never fails to make matters worse. This is the gist of the play on words Lacan makes over and over again in chapter 5 of Seminar XX, "c'est Ia jouissance qu'il ne faudrait pas" (a play on two different verbs, falloir, "it must be," and faillir, "to fail," that are written and pronounced identically in certain tenses; thus 'it is the jouissance that must not be" and "it is the jouissance that cannot fail"): It is the idea of a jouissance that never fails and that never fails to diminish still further the little jouissance we already have.

These two jouissances (the paltry one and the Other) are not complementary, according to Lacan, otherwise "we would fall back into the whole" (Seminar XX, 68/73), the fantasy of complementarity, yin and yang, one for men, say, and one for women. Instead, they form a couple, if you will, akin to that constituted by the aporetic couple, being and nonbeing, over which certain Greek philosophers got rather "worked up" (Seminar XX, 25/22, 52/54, 56/61).(Lacan to the Letter Reading Ecrits Closely Bruce Fink,2004)


セミネールⅩⅩ(Patrick Valas版(Staferla版))より(ミレール版といささか異なるが、手許にはこれしかない)。

La jouissance, donc : comment allons-nous exprimer ce « qu'il ne faudrait pas » à son propos, sinon par ceci : s'il y en avait une autre que la jouissance phallique… là, comme ça, pour que vous ne perdiez pas la corde, c'est affreux mais si je vous parle comme ça, comme j'ai pris mes notes ce matin, vous perdrez le fil … s'il y en avait une autre, il ne faudrait pas que ce soit celle-là.

C'est très joli. Il faut user, hein, il faut user, mais user vraiment, savoir user, user jusqu'à la corde de choses comme ça, bêtes comme chou, des vieux mots.

C'est ça l'utilitarisme. Et ça a permis un grand pas pour décoller des vieilles histoires, là, d'Universaux où on était engagé depuis PLATON et ARISTOTE, et où ça avait traîné pendant tout le Moyen-âge, et où ça étouffe encore LEIBNIZ, au point qu'on se demande comment il a été aussi intelligent.

Oui, s'il y en avait une autre, il ne faudrait pas que ce soit celle-là. Écoutez ça ! Qu'est-ce que ça désigne « celle-là » ?

Ça désigne ce qui dans la phrase est « l'autre » [jouissance] ? - Ou celle d'où nous sommes partis pour désigner cette autre, comme « autre » ?

Parce qu'enfin si je dis ça, qui se soutient au niveau de l'implication matérielle, parce qu'en somme la première partie désigne quelque chose de faux « s'il y en avait une autre » : il n'y en a pas d'autre que la jouissance phallique. Sauf celle sur laquelle la femme ne souffle mot, peut-être parce qu'elle ne la connaît pas, celle qui la fait pas toute en tout cas. Il est donc faux, hein, qu'il y en ait une autre. Ce qui n'empêche pas la suite d'être vraie, à savoir qu'« il ne faudrait pas que ce soit celle-là ».

Vous savez que c'est tout à fait correct, que quand le vrai se déduit du faux c'est valable, ça colle, l'implication. La seule chose qu'on ne peut pas admettre, c'est que du vrai suive le faux. Pas mal foutue la logique ! Qu'ils se soient aperçus de ça tous seuls, ces Stoïciens, il y avait CHRYSIPPE54, et puis il y en avait un autre qui n'était pas du même avis. Mais quand même, il ne faut pas croire que c'était des choses qui n'avaient pas de rapport avec la jouissance. Il suffit de faire réhabiliter ces termes.

Il est donc faux « qu'il y en ait une autre », ce qui nous empêchera pas de jouer une fois de plus de l'équivoque, et à partir non pas de faillir mais de faux [« faux qu'il y en ait une autre » → « faut qu'il y en ait une autre »…], et de dire qu'« il ne faudrait pas que ce soit celle-là ».

À supposer qu'il y en ait une autre, mais justement il n'y en a pas, et du même coup, c'est pas parce qu'il n'y en a pas… et que c'est de ça que dépend le « il ne faudrait pas » …que le couperet n'en tombe pas moins sûr. Eh bien celle-là… qui n'est pas l'autre, celle dont nous sommes partis …il faut que celle-là soit faute, entendez-le culpabilité [coupable → coupure], et faute de l'autre, de celle qui n'est pas.


◆ブルース・フィンク英訳(ミレール版) アンコールから

Were there another one, it shouldn't be/could never fail to be that one. What does "that one" designate? Does it designate the other in the sentence, or the one on the basis of which we designated that other as other? What I am saying here is sustained at the level of material implication, because the first part designates something false - "Were there another one," but there is no other than phallic jouissance - except the one concerning which woman doesn't breathe a word, perhaps because she doesn't know (connait)24 it, the one that makes her not-whole. It is false that there is another one, but that doesn't stop what follows from being true, namely, that it shouldn't be/could never fail to be that one.

You see that this is entirely correct. When the true is deduced from the false, it is valid. The implication works. The only thing we cannot abide is that from the true should follow the false. Not half bad, this logic stuff! The fact that the Stoics managed to figure that out all by themselves is quite impressive. One mustn't believe that such things bore no relation to jouissance. We have but to rehabilitate the terms to see that.

It is false that there is another. That won't stop me from playing once more on the equivocation based on faux (false), by saying that it shouldn't (faux-drait) be/could never fail to be/couldn't be false that it is that one. 25

Suppose that there is another - but there isn't. And, simultaneously, it is not because there isn't - and because it is on this that the "it shouldn't bel could never fail" depends - that the cleaver falls any the less on the jouis-sance with which we began. That one has (faut) to be, failing (faute de) -you should understand that as guilt - failing the other that is not. 26

注)

25 This play on words is untranslatable in English: faux ("false" or "wrong") is pronounced in French exactly like the first syllable offaudrait.

26 Faute de usually means for lack of or failing that, but here Lacan wants us to also hear the sin or fault in faute. Lacan may also want us to hear faut at the beginning of the sentence as based on faillir: "That one defaults, failing .. , ." The same is perhaps true four paragraphs down.



…………

【追記】


autre jouissance という語は、セミネールⅩⅨには、次ぎのように現われる


qui est cette racine du « pas toute » …qu'elle recèle une autre jouissance que la jouissance phallique, la jouissance dite proprement féminine qui n'en dépend nullement.(S.19)

この段階で、すでに「女性の享楽」 jouissance féminine と「他の享楽」 autre jouissance を結びつけている。ただし、実際は「ファルス享楽」を超える享楽と読むべきで、女性/男性にはほとんど関係がない、というのが通説。

たとえばブルース・フィンク、2004より。

……二つの享楽(ファルス享楽と他の享楽)の議論は、ラカンが性別化と呼ぶものの話題を我々ににもたらしてくれる。ここで想い起しておかねばならない、性別化とは生物学的な性とは関係がないことを。ラカンが男性の構造と女性の構造と呼んだものは、人の生物学的器官とは関係がない。むしろ人が獲得しうる享楽の種類と関係がある。(ブルース・フィンク,Lacan to the Letter Reading Ecrits Closely Bruce Fink,2004、私訳)

あるいは、ジジェク、2012より。

ファルスのシニフィアンとは、その現前・不在が、男 manと女 womanを区別する機能でない。性別化の式において、それはどちら側(男性側 masculine と女性側 feminine)にも機能する。どちらの場合も、S と J (話す主体と享楽)とのあいだの不可能な関係(非関係)の作因子として作用する。ーーファルスのシニフィアンとは、象徴秩序に受け入れられた存在、つまり「話す存在」にアクセス可能な享楽を表す。

したがって、ひとつの性と、(プラスアルファの)それに抵抗する非全体しかないの同じように、ファルス享楽と、プラスアルファのそれに抵抗する X しかない。もっとも、正しく言うなら、その X は存在しない。というのは、《ファルス的でない享楽はない[ il n'y en a pas d'autre que la jouissance phallique]》(S.20)から。この理由で、ラカンが謎めいた幽霊的「他の享楽」を語ったとき、彼はそれを存在しないが機能する何ものかとして扱った。(ZIZEK.LESS THAN NOTHING、2012,私訳)


では、結局何か。ここでは、「他の享楽」とは、おそらく「身体の享楽」だろう、としておこう。

 たとえば、セミネールⅩⅩⅡより。

S'y justifie que, si nous cherchons de quoi peut être bordée cette jouissance de l'autre corps, en tant que celle-là sûrement fait trou, ce que nous trouvons c'est l'angoisse.

c'est la jouissance en tant que phallique [ JΦ ] qui implique sa liaison à l'Imaginaire comme ex-sistence : l'Imaginaire c'est le « pas-de-jouissance ».

ヴェルハーゲ、2001では、次のように記されいる。

……さらに詳しく享楽の二つの形式のあいだの関係を扱ってみよう。この関係は、一方は、制限、統制、そして防衛でさえある。性的、すなわちファルス享楽 la jouissance phallique は、享楽自体を統制する。というのは、ファルスのシニフィアンは、拘束的で束縛機能があるから。他の享楽 l'autre jouissance は、身体に属する。それは外立するものとしての存在ーーすなわち象徴界の外部に立つものーーとして理解されうる。

我々の象徴的に決定された現実において、男と女は、ファルス的な仕方で、互いに関係し合う。二つの異なったジェンダーのあいだに純粋な性関係はない。さらに、ファルス享楽は性関係にとって障害物を構成する。《ファルス享楽は障害である。そのせいでーー言ってしまえばーー、男は女の身体を悦楽するところまで来ない。それはまさに、彼が悦楽しているのは、器官の享楽だから》(S.20)。

《la jouissance phallique est l'obstacle par quoi l'homme n'arrive pas - dirai-je - à jouir du corps de la femme précisément parce que ce dont il jouit c'est de cette jouissance, celle de l'organe.》(S.20)

人は、ファルス享楽を超えても、いまだ性関係はない。というのは、ファルス享楽の彼方には、ジェンダーの差異はなく、《ファルスの彼方には Au-delà du phallus…身体の享楽 la jouissance du corps》(S.20)があるだけだから。

私はこれを次のように解釈する。すなわち、ファルスを超えた男と女とのあいだの関係は、主体と身体の享楽とのあいだの関係、あるいは、ファルス享楽と他の享楽とのあいだの関係とと同じものになる、と。

しかし、この「彼方」はそれ自体、目的地ではない。逆に、これに対する主体の最初の反応は、不安でありうる。そして、ファルス享楽は、有機体としての身体に享楽に対する防衛として理解されなければならない。事実、この享楽の形式は、象徴界を離れることを意味する。したがって、消滅、すなわち、主体の死である。《死への道は、享楽と呼ばれるもの以外の何ものでもない》 [le chemin vers la mort n'est rien d'autre que ce qui s'appelle la jouissance] (Séminaire, XVII)。したがって、これは死の欲動と関連している。…(Paul Verhaeghe, Subject and Body. Lacan's Struggle with the Real. 2001,私訳)