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ーーとあるように、英訳版セミネールⅩⅦ(精神分析の裏面)の解説のひとつとして書かれたものであり、途中数字が記されているのは、この版の引用ページである。
ーーここでは《主人のシニフィアンはどんなシニフィアンによっても生みだされる the master signifier can be produced by any signifier (144)》とあっさり記されているが、仏原文では、次ぎの箇所である(たぶん?)。
■セミネール17 Staferla 版 pp.179-180
…この段階(セミネールXⅦ)において、ラカンは重要なニュアンスをつけ加える。それによって「父の名」に関する以前の理論の相当な変化がもたらされる。すなわち、主人のシニフィアンはどんなシニフィアンによっても生みだされる(144)。このニュアンスは彼の理論の次の「進化」から理解することができる。「父の名」から「父の諸名」(複数の父の名)へと、さらには最終的には「主人の事例instance」(101)によるS1として生みだされる限りどんなシニフィアンでもいい、と。
はっきりしているのは、我々は「父の名」という排他的なシニフィアンから長い道のりを歩んだことだ。これは疑いもなく最も難解なテーマであり、ラカンはセミネールXXでふたたび取り上げた。主体の形成がなされるためには、S1の介入が必要である。そのときの問題は、このS1はどこから来るかだ。
ラカンはトートジカル(同義反復的)な答えを提供する。S1はシニフィアン〈一者〉から来る、その格言「〈一〉のようなものがある」(Y a de l'Un)にて。これに基づいたS1はどんなシニフィアンでもいい。こういうわけで、彼の言葉遊びS1、essaim(ミツバチの群)がある。問題はシニフィアンの特質ではなくその機能である。一つの袋(envelope封筒)を与え、そのなかで全てのシニフィアンの鎖が存続できるようにするのだ(S.20→後述)。
これはラカンが既に同一化のセミネールで提示した思考の一連の流れにある。そのセミネールIXで、彼は主体の同一化の起源を他の主体から来る「一つの特徴」の上に置いた。その「一つの特徴」が主体をシンギュラーな〈一者〉として刻み込むのだ。このセミネールでも、「一つの特徴」は反復の必要があると言われている。というのは、〈一者〉は不在の上に来るからだ。底に横たわる実体的な主体はない。ただヒュポケイメノンhupokeimenon(アリストテレス=ハイデガー)、想定された存在presenceがあるだけだ。これはシニフィアンと物とのあいだの関係とまさに同じである。シニフィアンは他のシニフィアンに差し向けられるだけだ。他方、物自体は諸シニフィアンの鎖の外部にある。
この一連の理由づけにある袋小路は起源の問いにかかわる。ラカンはその全仕事を通してくり返したのだが、答えることは不可能だった。主体の形成は、S1から引き出される。そしてそのS1は、底に横たわる不在の上で反復される必要がある「一つの特徴」から来るのだ。私の読解では、これはまさにフロイトが陥ったのと同じ袋小路であり、しかも同じ話題においてである。父を基礎づけるために、フロイトは原父が必要だった。なにも不思議ではない、フロイトがこの循環論法で終わったのは。それは次の言葉とともにだった。 "Credo quia absurdum"ーー「私はそれを信じる、なぜならそれは馬鹿げているから」、と。(Paul Verhaeghe, (2006). Enjoyment and Impossibility ポール・ヴェルハーゲ「享楽と不可能性」より、2006,私訳)
ーーここでは《主人のシニフィアンはどんなシニフィアンによっても生みだされる the master signifier can be produced by any signifier (144)》とあっさり記されているが、仏原文では、次ぎの箇所である(たぶん?)。
Le discours du Maître nous montre la jouissance comme venant à l'Autre. C'est lui qui en a les moyens. Ce qui est langage ne l'obtient qu'à insister jusqu'à produire la perte d'où le plus de jouir prend corps.
D'abord le langage, et même celui du Maître, ne peut être autre chose que demande, et demande qui échoue.
Ce n'est pas de son succès, c'est de sa répétition que s'engendre quelque chose qui est d'une autre dimension – que j'ai appelé la perte – où le plus de jouir prend corps.
Cette création répétitive, cette inauguration d'une dimension dont s'ordonne tout ce dont va pouvoir se juger l'expérience analytique, ceci peut aussi bien partir d'une impuissance originelle, de celle pour tout dire de l'enfant, loin qu'elle soit la toute-puissance.
Si l'on a pu s'apercevoir que ce que la psychanalyse nous démontre c'est que « l'enfant est le père de l'homme », c'est bien qu'il doit y avoir quelque part, quelque chose qui en fait la médiation.
Et c'est très précisément cette insistance du Maître, cette insistance en tant qu'elle vient à produire… et je l'ai dit : de n'importe quel signifiant, après tout …le signifiant-Maître. pp.179-180
英訳は、Patrick Valas(Staferla)のブログで手に入れた旧英訳(いささか雑な)しか手許にない。いまはそれで確認することはしない。
いずれにせよひとは、ヴェルハーゲの文で黒字強調をした箇所ーーとくに《主人のシニフィアンはどんなシニフィアンによっても生みだされる》--ということについて不十分な理解しかしておらず、おそらくS1を排他的なシニフィアンに近いものとして捉えているままだと(前期ラカンの解釈に囚われたままだと)、わたくしには致命的だと思われる次ぎのような誤読をしてしまうことになるのだろうか?
小笠原晋也@ogswrs …… 昨日の続きです.Encore の最終回で提示されたこの式:
S1 ( S1 ( S1 ( S1 ( S1 → S2 ) ) ) )
つまり「徴示素一群が徴示素2に対して主体を代表する」は『主体のくつがえし』のなかのこの文を思い起こさせます:
「S(Ⱥ) は,其れに対してほかの徴示素すべてが主体を代表するところの徴示素である.すなわち,この徴示素が無ければ,ほかの徴示素すべては何も代表しない」(Écrits, p.819).
つまり,S(Ⱥ) は S2 に相当します.一群 S1 は S(Ⱥ) に対して主体を代表します.しかも,S(Ⱥ) は,ひとつの徴示素がもうひとつのほかの徴示素に対して主体を代表する限りにおいて,徴示素の機能の必要条件です.というのも,S(Ⱥ) は徴示素の穴にほかならないのですから.
いやそれ以前に、そもそもエクリの『主体の転覆』における「S(Ⱥ) は,其れに対してほかの徴示素すべてが主体を代表するところの徴示素である.すなわち,この徴示素が無ければ,ほかの徴示素すべては何も代表しない」(Écrits, p.819).とは原文では次の箇所なのだが、この文はフィンクによれば解釈者たちの誤読が甚だしいらしい。
Pour nous, nous partirons de ce que le sigle S (Ⱥ) articule, d'être d'abord un signifiant. Notre définition du signifiant (il n'y en a. pas d'autre) est : un signifiant, c'est ce qui représente le sujet pout un autre signifiant. Ce signifiant sera donc le signifiant pour quoi tous les autres signifiants représentent le sujet : c'est dire que faute de ce signifiant, tous les autres ne représenteraient rien. Puisque rien n'est représenté que pour.(E.819)
フィンクはこの箇所をもう少し長く引用して、次のように言っている。
This passage, without any further explanation, is obviously incomprehensible.(Lacan to the Letter Reading Ecrits Closely、 Bruce Fink 、2004、p.132
だがここではその話はこれ以上しないでおく。上に掲げた「S(Ⱥ) は,其れに対してほかの徴示素すべてが主体を代表するところの徴示素である」という文にPatrick Valasは、次ぎのようにマテームを捕捉をしている。
Ce signifiant [ S1 ou S (Ⱥ)]sera donc le signifiant pour quoi tous les autres signifiants[S2]représentent le sujet [$](Patrick Valas)
すなわち小笠原晋也氏の《S(Ⱥ) は S2 に相当します.一群 S1 は S(Ⱥ) に対して主体を代表します》とはトンデモ誤読にようにわたくしにはみえる。なぜこのような解釈がなされてしまうのか、シツレイながら頭を割って脳味噌の中身を調べてみたいくらいの誤読である・・・それとも日本井蛙ラカン研究者による“Credo quia absurdum”の実践なのだろうか・・・
※S(Ⱥ)はS1の変種であり、かつまたサントームであるだろうことは「まずS(Ⱥ)= Φ (象徴的ファルス)から始めよう」でみた。
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さて上で引用訳した文においてヴェルハーゲはセミネールⅩⅦの解説として語っているので、フロイトだけでなくラカンの「循環論法」を強調しているが、別にサントームにかかわるセミネール(ⅩⅩⅢ、ⅩⅩⅣ)をめぐる箇所では、ラカンのサントームをより肯定的に説明している。
Pourquoi est-ce qu'on n'inventerait pas un signifiant nouveau? Un signifiant par exemple qui n'aurait, comme le réel, aucune espèce de sens?” ( J. Lacan, Le Séminaire XXIV, L'insu que sait de l'une bévue, s'aile a mourre, Ornicar ?, 17/18, 1979, p. 21)
ラカンはこの自己によって創造されるフィクションを、サントームと呼んだ。…新しいシニフィアン或いはサントームの創造の文脈における創造とは、〈大他者〉の欠如の上に築き上げられるものである。すなわちcreatio ex nihilo無からの創造においてのみ。(Paul Verhaeghe and Declercq"Lacan's goal of analysis: Le Sinthome or the feminine way"2002.)
あるいは《症状と同一化すること、とはいえ症状に向けて一種の距離を確実なものにしつつ、である》(Séminaire XXIV)にもかかわる(参照:ラカン派の「主体の解任destitution subjective」をめぐって)。
“En quoi consiste ce repérage qu'est l'analyse? Est-ce que ce serait, ou non, s'identifier, tout en prenant ses garanties d'une espèce de distance, à son symptôme? savoir faire avec, savoir le débrouiller, le manipuler ... savoir y faire avec son symptôme, c'est là la fin de l'analyse.” J. Lacan, Le Séminaire XXIV, L'insu que sait de l'une bévue, s'aile a mourre, Ornicar ?, 12/13, 1977, pp. 6-7
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◆途中でてくる「ひとつの特徴」"unary trait" ーーフロイトのeinziger Zugについては、同じセミネールⅩⅦの解説としてふされたジュパンチッチの”WhenSurplus Enjoyment Meets Surplus Value"(Alenka Zupancic)PDFのいくらかの私訳をみよ。
ラカンはこれを彼の概念的な骨組みframeworkに転置する。それはたった一つの特徴unary traitを次のように解釈することによってである。《徴の最もシンプルな形、それは正しく言うならば、シニフィアンの起源である》(S.17)。ラカンは、フロイトのたった一つの特徴を、彼がS1として書くものと繋げている。さらに、彼は、喪失の瞬間と埋め合わされた満足あるいは享楽enjoymentをある唯一の瞬間に、非線形化delinearizeし濃縮condenseする。原初の喪失(対象の)の概念から逃れ去り、喪失の概念は、残滓wasteの概念、無用の剰余あるいは残存物remainderの概念に、より近づく。それが、享楽jouissanceそれ自体に固有であり本質的なものなのである。(アレンカ・ジュパンチッチ、2006)
◆ラカンの言葉遊びS1、essaim(ミツバチの巣)についてはアンコールの次の箇所。
「Séminaire 20 Staferla 版 p.135」より
Le corps, qu'est-ce donc ? Est-ce ou n'est-ce pas le savoir de l'Un ? - Le savoir de l'Un se révèle ne pas venir du corps, - le savoir de l'Un… pour le peu que nous en puissions dire, …le savoir de l'Un vient du signifiant 1 [S1].
Le signifiant Un vient-il du fait que le signifiant comme tel ne soit jamais que l'un entre autres, référé comme tel à ces autres comme en étant la différence d'avec les autres ?
La question est si peu résolue jusqu'à présent que j'ai fait tout mon séminaire de l'année dernière pour interroger, mettre l'accent sur ce « y'a d'l'Un ». Qu'est-ce que veut dire y'a d'l'Un ? Ce que veut dire y'a d'l'Un est ceci que permet de repérer l'articulation signifiante que de un entre autres… et il s'agit de savoir si c'est « quel qu'il soit » …se lève un S1, un essaim de signifiants, un essaim bourdonnant lié à ceci que ce 1 de chaque signifiant… avec la question de « est-ce d'eux que je parle ? » [cet essaim est-ce d'eux ?] …ce S1 que je peux écrire d'abord de sa relation avec S2, eh bien c'est ça qui est l'essaim.
S1 (S1 (S1 (S1 (S1 → S2) ) ) )
Vous pouvez en mettre ici autant que vous voudrez, c'est l'essaim dont je parle. Le signifiant comme maître, à savoir en tant qu'il assure l'unité, l'unité de cette copulation du sujet avec le savoir, c'est cela le signifiant maître, et c'est uniquement dans lalangue, en tant qu'elle est interrogée comme langage, que se dégage - et pas ailleurs – que se dégage l'ex-sistence de ce dont ce n'est pas pour rien que le terme στοιχεῖον [stoïkeïon] : élément [élément premier→ élémentaire] soit surgi d'une linguistique primitive[cf. RSI, 18-02-1975], ce n'est pas pour rien :
le signifiant 1[S1] n'est pas un signifiant quelconque, il est l'ordre signifiant en tant qu'il s'instaure de l'enveloppement par où toute la chaîne subsiste.
翻訳者たちの悪訳で名高いラカンであり、わたくしは基本的にラカンの文を訳すつもりはない。というわけで、英訳を貼り付けておく。
What then is the body? Is it or isn't it knowledge of the one? Knowledge of the one turns out (se révèle) not to come from the body. The little we can say about knowledge of the one comes from the signifier "One." Does the signifier "One" derive from the fact that a signifier as such is never anything but one-among-others, referred to those others, being but its difference from the others?
The question has been so little resolved to date that I devoted my whole seminar last year to accentuating this "There's such a thing as One" (y'a d'l'Un). What does "There's such a thing as One" mean? From the one-among-others - and the point is to know whether it is any old which one - arises an S1, a signifying swarm, a buzzing swarm. If I raise the question, "Is it of them-two that I am speaking?", I will write this S1 of each signifier, first on the basis of its relation to S2. And you can add as many of them as you like. This is the swarm I am talking about.
S1 (S1 (S1 (S1 ~S2)))
S1, the swarm or master signifier, is that which assures the unity, the unity of the subject's copulation with knowledge. It is in llanguage and nowhere else, insofar as llanguage is investigated qua language, that what a primitive linguistics designated with the term στοιχεῖον, element - and that was no accident - can be discerned. The signifier "One" is not just any old signifier. It is the signifying order insofar as it is instituted on the basis of the envelopment by which the whole of the chain subsists.
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最後のラカンにとって、現実界は、象徴界の「内部にある」ものである。Dominiek Hoensと Ed Pluth のカント用語にての考察を捕捉すれば、人は同じように、最後のラカンは現実界の超越的概念から、超越論的概念に移行した、と言うことができる。 ( Lacan Le-sinthome by Lorenzo Chiesa)
われわれは「現実界の侵入は象徴界の一貫性を蝕む」という見解から、いっそう強い主張「現実界は象徴界の非一貫性以外のなにものでもない」という見解へと移りゆくべきだ。(ZIZEK『LESS THAN NOTHING』2012)
もっとも「臨床的」ラカン派からはやや異なった見解がある(「二重に重なる享楽の喪失(Paul Verhaeghe)」)。
■Subjectivity and Otherness: A Philosophical Reading of Lacan, by Lorenzo Chiesa 2007
注)
Lacan seems to become aware of this deadlock in Seminar XXIII, in which in fact J (A barred), a fourth variant of the notion of jouissance, takes the place of JA in the Borromean knot (see graph 5.5).273
In one of the most important lessons of that year, Lacan says: “J (A barred) concerns jouissance, but not Other-jouissance . . . there is no Other-jouissance inasmuch as there is no Other of the Other.”274
The passage from the notion of Other-jouissance JA to that of the jouissance of the barred Other J (A barred) epitomizes the distance that separates Saint Teresa's holy ecstasy , as referred to by Lacan in Seminar XX, from the “naming” of lack carried out by Joyce-le-saint-homme, as analyzed in detail in Seminar XXIII. In this seminar, JA (of Woman; of God) becomes impossible; however, feminine jouissance could be redefined in terms of J (A barred).275
J (A barred) is therefore a (form of ) jouissance of the impossibility of JA. Most importantly , I must emphasize that the jouissance of the barred Other differs from phallic jouissance without being “beyond” the phallus.
The elaboration of the notion of J (A barred) also has a significant repercussion for Lacan's late dictum according to which “Y a d' l'Un” (“There's such a thing as One”).276
In Seminar XX, Lacan seems to identify this One with JA, with the idea of a pure Real conceived of in the guise of pure difference, a fermenting Nature; although in Seminar XXIII he declares that JA is meant to designate the fact that there is a Universe, he nevertheless specifies that it is quite improbable that the Universe is, as such, a Uni-verse, that the Universe is a One (of pure, Other-jouissance).277
That is to say , a pure, mythical Real—the undead—must be presupposed retroactively , but it cannot be counted as (a self-enjoying, divine) One, not even as the supposedly “weaker” One of pure difference.
注)
273.See Le séminaire livre XXIII, p. 55.
274,Seminar XXIII, lesson of December 16, 1975. This passage has been modified beyond recognition in the Seuil version of Seminar XXIII. I rely here on the version provided by the École Lacanienne de Psychanalyse.
275.In this way , it would be easy to think of Joy-cean jouissance as a thorough reelaboration of the jouissance of the mystic which Seminar XX had already paired up with feminine jouissance. It then also becomes clear why Lacan's recurrent parallelism between Joyce and a saint is far from being gratuitous (“Joyce-the-sinthome is homophonous with sanc-tity”; J. Lacan, “Joyce le symptôme,” in Le séminaire livre XXIII, p. 162).
276.See, for example, The Seminar. Book XX, p. 5.
277.Le séminaire livre XXIII, p. 64. Lacan also unequivocally states: “I would say that nature presents itself [se spécifie] as not being one. From this then follows the problem of which logical procedure [we should adopt] in order to approach it” (ibid., p. 12).